Vous allez me traiter de gourde, mais j’ai vraiment découvert hier comment sont classées les histoires érotiques et j’ai été très coquine.

Oui je suis nulle en informatique, mais je me rattrape sur plein d’autres choses. Actuellement en arrêt maladie, j’ai enfin eu le temps de surfer sur le net tranquillement, le soir, c’est toujours plus compliqué quand mon mari rentre, les obligations.....

Quand je cliquais sur Histoires ou photos je ne trouvais pas vraiment ce que je cherchais. Bien souvent c’étaient des photos et des histoires érotiques sur des trucs d’hommes soumis ou de chasteté, alors que moi, c’est plutôt l’inverse qui m’intéresse. Et puis d’un coup, la révélation !

Il y a un moteur de recherche qui donne accès au classement par thème et on peut choisir de ne voir que les histoires qu’on veut.

Je clique donc sur « femmes soumises » et commence à lire des histoires. Au bout d’un moment de lecture, des envies me viennent. Chaude comme la braise, j’allonge un peu le fauteuil du bureau et laisse courir mes doigts dans la culotte mais il me manque un petit quelque chose pour arriver à mes fins. L’idée me vient d’aller chercher un petit gode et de me le mettre. En revenant, j’étais un peu moins excitée, alors j’ai imaginé qu’un inconnu m’obligeait à me le mettre et à poursuivre la lecture. Ce sadique imaginaire me demandait d’allumer ma cam et de le mettre en route pour que je vibre en lisant. L’idée de m’exhiber pour un inconnu a commencé à germer et, même s’il n’y avait pas de cam, j’en voyais un dans ma tête.

Au moment de reprendre ma lecture, j’ai cliqué au mauvais endroit et j’ai perdu la page où il y avait les histoires de soumises. Rageuse, je me remets à chercher et tombe sur la rubrique « femmes soumise sexuelles ».

Oh oh, vla autre chose de sympa à découvrir..... Je commence donc à lire, et, même si je n’ai jamais sauté le pas, en plus avec un mari jaloux cela n’aide pas, mes sens s’enflamment. Dans l’histoire que je lisais avec le truc qui vibrait dans ma chatte, le Maître obligeait sa soumise à se livrer à plusieurs hommes. Il l’avait attachée, elle ne pouvait rien faire pour leur échapper et devait subir les pires outrages. Les yeux fermés, je me suis imaginée à sa place. Toujours assise sur le fauteuil et notre petit gode vibrant, ma main a lâché la souris pour se bloquer dans l’accoudoir. L’autre a fait de même, j’étais moi aussi attachée avec les yeux bandés et offerte à des inconnus. J’ai pris conscience que je bougeais mes fesses sur le gode comme une malade mentale. Malgré la petite honte intérieure, j’ai continué et j’ai fini par jouir sans me toucher alors que je suis clitoridienne. C’est complètement fou ce que l’imaginaire peut faire !

Merci aux auteurs pour ce moment de plaisir qu’ils m’ont offert.

AJOUT DE FESSESTIVITES

Une GRAND merci pour votre merci aux auteurs. C'est si rare que cela méritait d'être souligné.